The way of imagination

     Lorsque la plupart des gens entendent le mot « mythes », ils pensent à des contes de fée, ou bien ils les méprisent comme étant tout simplement ridicules. Il reste que toute à travers l’histoire humaine, chaque culture et peuple raconte les histoires au sujet de lui-même ainsi que le monde. Par exemple, plusieurs occidentaux racontent leur histoire comme étant un passage de la religion vers la raison, d’une époque primitive lorsque leur civilisation croyait en Dieu et ses dirigeants désignés ici-bas (les monarques) vers la période moderne (et meilleure) de la laïcité et la démocratie libérale. Mais, qu’on raconte l’histoire du progrès de la superstition vers la lumière de la raison ou bien l’histoire (traditionnelle) du salut , en commençant avec la création du monde jusqu’à l’apparence du péché chez le genre humain vers la création d’un monde nouveau par la mort et la résurrection de Jésus de Nazareth – il n’en reste pas moins qu’on raconte des histoires.      Qu’on ait

When most people hear the word “myth”, they usually think of a story that resembles a fairy tale, a story that is obviously NOT true…they may even dismiss it as being ridiculous. However, throughout human history, every culture and people-group has told stories about itself and the world. For example, many westerners tell their story as being a passage from religion to reason, from a primitive time when their civilization believed in God and his chosen rulers on earth (monarchs) to the (better) modern period of secularism and liberal democracy. But whether we’re telling the story of progress from superstition to enlightenment or the (more traditional) story of salvation , beginning with the creation of the world to the appearance of sin in the human race to the creation of a new world through the death and resurrection of Jesus of Nazareth – we’re still telling stories .      Regardless of whether or not we have religious beliefs, it remains the case that most people make sens