The way of imagination

Veux-tu vivre? Le 26 avril 2003, Aron Lee Ralston – un homme de 27 ans – faisait de la randonné dans les canyons de l’Utah. Au moment donné, Aron emprunte un tunnel étroit et pour descendre plus bas dans ce tunnel, il s'appuie sur un rocher coincé entre les deux murs du canyon. Le rocher ne supporte pas le poids d'Aron et se déloge. Aron dégringole dans le canyon suivi par le roc de plusieurs centaines de kilos, qui écrase et coince sa main droite contre la paroi. Après avoir tenté de libérer son bras, Aron se rend à l'évidence : il est bloqué et personne ne viendra à son secours. Il a sur lui moins d'un litre d'eau et seulement deux barres de céréales en guise de nourriture. Pendant six jours et cinq nuits , Aron essaye en vain toutes les options possibles pour se sortir du canyon : soulever le rocher en utilisant ses cordes et ses mousquetons en guise de poulies, utiliser son canif pour faire sauter des petits fragments du rocher, espérant ainsi le déloge

The end of your rope. Have you ever felt like you were at the end of your rope?   Have you ever felt that everything had gone wrong, and that there was nowhere left to turn?   Perhaps there have been times when you have burned all of your bridges, let everyone down and made a complete mess of things.   Maybe some of us feel that way this morning.   If so, today’s Gospel is indeed “good news” for us. The original “Rocky”. We know him as “St. Peter”, the first Pope and a martyr of the Church – a true Christian hero; however, the chances are slim that anyone would have addressed him as “Your Holiness” during his lifetime.   His friends knew him as “Simon, John’s kid”.   When Simon met Jesus, Jesus gave him a nickname – “Cephas/Peter”, which means “rock/rocky”.   “Simon the Rock” – that’s how Jesus would have usually addressed him and it’s indeed how St. John refers to him in today’s Gospel.   At first glance, the dialogue in today’s Gospel may strike us as being a bit strange .